CÉAS de la Mayenne
29, rue de la Rouillère
53000 Laval
Tél. 02 43 66 94 34
Mél. ceas53@wanadoo.fr

    

Découvrir les quiz précédents

 

ACTUALITÉS

<< <  Page  14 sur 35  > >>

28/12/2021
28/12/2021

De « belles curiosités » picturales dans les églises mayennaises

Publié en 2018 aux éditions Christine Bonneton, Les 500 plus belles peintures murales de nos églises, de Philippe Ménager, constitue un inventaire qui incite à partir à la découverte d’un patrimoine pictural diversifié, riche iconographiquement, gratuitement accessible. Par contre, les 255 pages de l’ouvrage ont nécessité une sélection sévère et une présentation très succincte de chaque site.

 

 

 

 

24/12/2021

Qualité et continuité de service dans l'aide à domicile. Éthique et pratiques des transmissions d'information (décembre 2021)

L’activité des services à la personne au domicile est complexe de par les principes d’intervention qui peuvent s’avérer contradictoires : respect de l’autonomie de la personne, mais prise en compte des enjeux de sécurité ; respect de la vie privée, mais importance des transmissions d’information pour un travail en équipe ou en coordination… Ci-après des repères qui aideront les services d’aide à domicile à apporter des réponses adaptées. En aucun cas, ces réflexions ne peuvent exonérer les responsables de service et les aides à domicile d’une réflexion pour prendre en compte les spécificités d’une situation.

22/12/2021

Accéder à l'ensemble des CÉASsement vôtre !

Stanley Milgram à toutes les sauces du Covid-19 !

Pour donner un peu de crédibilité à ses « théories », une astuce consiste à les habiller de références scientifiques. La ficelle est énorme, mais elle peut encore fonctionner !

Si l’on suit Louis Daufresne (en vrai : Annet Sauty de Chalon), rédacteur en chef à Radio Notre-Dame, et sa chronique en page 2 du Courrier de la Mayenne du 16 décembre 2021, nous nous sommes fait vacciner contre le coronavirus SARS-CoV-2, non pas pour nous protéger et protéger les autres, mais parce que nous sommes dans un « état agentique », c’est-à-dire parce que nous avons perdu notre libre arbitre. Et nous avons perdu notre libre arbitre parce que nous sommes soumis à l’autorité hiérarchique que constitue l’État ou le gouvernement.

Louis Daufresne fait ici référence à la recherche que le psychologue social américain Stanley Milgram (1933-1984) a conduite au début des années 1960. Mais Louis Daufresne n’a probablement jamais lu le récit que Stanley Milgram a rédigé sur ses expériences. Le journaliste affirme que les deux tiers des sujets de l’expérience obéissent de façon aveugle aux injonctions d’un scientifique qui incarne l’autorité. Dès lors, les sujets peuvent aller jusqu’à « torturer » une victime qui ne leur a rien fait. Oui, c’est vrai, mais seulement pour l’une des expériences qu’a conduites Stanley Milgram. Donc, c’est vrai, mais uniquement dans un contexte expérimental bien précis.

Le psychologue social a multiplié ses expériences en modifiant des paramètres et il a ainsi vérifié diverses hypothèses. Dans certaines expériences – chaque expérience étant menée avec quarante sujets différents –, le taux des « soumis à l’autorité » est très loin d’atteindre les deux tiers et peut ne pas dépasser les 10 % !

Quand bien même, le taux en France des non vaccinés n’atteint pas un tiers de la population. De toute façon, Stanley Milgram n’a jamais conclu qu’il fallait ne plus s’arrêter aux feux rouges au prétexte que le code de la route émane de textes législatifs adoptés par le Parlement…

Stanley Milgram serait probablement choqué de lire l’utilisation que Louis Daufresne fait de ses travaux. Le psychologue social – rappelons-le – était surtout marqué par l’extermination des juifs par les nazis. Il était lui-même de confession juive.

Aujourd’hui, le meurtrier s’appelle le coronavirus SARS-CoV-2. Ne pas se tromper de cible !

21/12/2021

Accéder à l'ensemble des CÉASsement vôtre !

Des parlementaires très « cavaliers »…

Un cavalier législatif est un article qui introduit des dispositions qui n'ont rien à voir avec le sujet traité par un projet de loi. Un tel article est souvent utilisé afin de faire passer des dispositions législatives sans éveiller l'attention de ceux qui pourraient s'y opposer. Cela peut aussi résulter d’un souci d’aller vite en faisant l’économie d’un texte de loi autonome. Dans tous les cas, si le Conseil constitutionnel censure un article que le Parlement avait pourtant adopté, cela peut faire penser à un manque de rigueur et peut prêter à sourire…

C’est ce qui arrive avec vingt-sept dispositions de la loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2022. Au départ, un recours de plus de 110 sénateurs, dont le Mayennais Guillaume Chevrollier, en date du 30 novembre 2021.

Parmi les textes censurés, il y a l’article 52 portant sur l’évaluation de la qualité dans les établissements sociaux et médico-sociaux (ESSMS). La mise en œuvre de cette réforme a déjà été plusieurs fois reportée. Le texte censuré renforçait les exigences requises des organismes évaluateurs. Les mesures prévues devaient s’appliquer à compter du 1er janvier 2022. Par ailleurs, l’article 52 prolongeait, jusqu’au 1er janvier 2025, l’autorisation des ESSMS n’ayant pas pu procéder à leur évaluation du fait de la situation épidémique.

À titre expérimental et pour une durée de trois ans, l’article 46 autorisait également la mise en place et le financement, par la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA), d’une carte professionnelle pour les aides à domicile : même cause, même effet !

Ainsi, pour le Conseil constitutionnel, ces dispositions, parmi d’autres, « n’ont pas d’effet ou ont un effet trop indirect sur les dépenses ou les recettes des régimes obligatoires de base (…). Dès lors, elles ne trouvent pas leur place dans une loi de financement de la sécurité sociale ». Adoptées selon une procédure contraire à la Constitution, elles lui sont donc contraires.

20/12/2021

Accéder à l'ensemble des CÉASsement vôtre !

Des professeurs et des médecins l’écrivent, mais…

Dans Le Monde du 10 décembre 2021, un collectif adresse une lettre au président de la République pour fustiger une bureaucratie « en perpétuelle extension ». Selon ce collectif, « c’est un mal ancien, systémique. Il ne sera pas combattu par ceux qui le répandent. Se multipliant un peu plus chaque année, les exigences réglementaires tatillonnes, voire absurdes, ainsi que les injonctions paradoxales qui ruissellent des ministères » (…), puis inondent tous les recoins du territoire.

Se multiplient partout « tracasseries, réunions, rapports sans intérêt, procédures irrationnelles, demandes abusives, commissions et sous-commissions à propos de n’importe quel sujet ». Pour le collectif, cette culture du chiffre, du « bla-bla » et des « process » sape le moral des professionnels les plus engagés…

Là où ils militent, là où ils travaillent, nombreux sont probablement ceux qui se retrouvent à travers ces propos que nous n’avons presque pas modifiés – seulement quelques retouches pour ménager le suspense. Cependant, le texte original publié dans Le Monde émane d’une seule et unique institution : l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). À quand un grand ministère de la Simplification administrative et du Bon sens pragmatique ?

20/12/2021

En tant qu'humains nous sommes aussi la Nature. "Mythopoïèse", d'Alessandro Pignocchi (Steinkis, 2020)

Dans le tome 3, « Mythopoïèse », du Petit traité d’écologie sauvage, album publié aux éditions Steinkis en janvier 2020, Alessandro Pignocchi met en perspective une vision utilitariste de la Nature à travers un récit basé sur la pensée animiste : celle qui accorde une place à chaque règne et qui inclut l’humanité au sein d’un tout, sans la hisser en haut de la pyramide.

 

 

 

19/12/2021

Carnet de voyage d'un Mayennais sur les terres du quetzal. Fragments Costariciens, de Nicolas Le Breton (Elytis, 2020)

Dans Fragments Costariciens, publié aux éditions Elytis (Bordeaux), l’auteur, Nicolas Le Breton, né à Mayenne en 1979, nous transporte de l’autre côté de l’Atlantique. Sous une plume poétique, le lecteur découvre un univers haut en couleur : un pays, une nature, un peuple…

 

 

 

18/12/2021

Au nom des cavernes de l'Histoire... Le dernier inventeur, de Héloïse Guay de Bellissen (Laffont, 2020)

Certains livres, parce qu’ils sont inclassables, deviennent des pépites si tant est qu’on casse la petite coque qui les entoure, comme ces pierres précieuses qui ne se donnent pas à voir immédiatement. Certaines découvertes sont du même ordre ! L’entrée d’un terrier, un trou en somme et puis soudain, merveille des merveilles, une grotte dont les parois révèlent la puissance d’un art préhistorique…

 

 

 

14/12/2021



<< <  Page  14 sur 35  > >>