CÉAS de la Mayenne
29, rue de la Rouillère
53000 Laval
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ACTUALITÉS
Gérontologie > Maladie d'Alzheimer et apparentées
France Alzheimer Mayenne : Lettre aux adhérents. Les édito
riaux de Paul Choisnet sont un vrai manuel (avril 2025 - 40 pages)
Avec environ un bulletin tous les deux mois, l’association France Alzheimer Mayenne, présidée par Paul Choisnet, informe régulièrement ses adhérents sur les activités de soutien qu’elle propose, mais aussi sur tout ce qui touche la maladie d’Alzheimer et celles qui y sont apparentées. Le plus souvent, l’éditorial que rédige le président apporte des clés pour comprendre la maladie et permettre aux proches d’être véritablement aidants. La « lettre » révèle un réel souci de lisibilité tant sur la forme (caractères de police assez grands) que sur le fond (articles courts, accessibles). Nous livrons ici la présentation synthétique de chaque bulletin publiée dans La Lettre du CÉAS et sa rubrique « Publications locales en revue ».
Santé publique > Fin de vie, mort, deuil
La mort et le deuil : des albums en
fance et jeunesse (avril 2025, 25 pages)
Ce dossier présente une trentaine d'albums parus ces trente dernières années pour expliquer la mort aux enfants ou aux adolescents, et aider à faire son deuil. Les auteurs et illustrateurs rivalisent d'imagination pour à chaque fois se différencier et innover. Tout l'art est ici d'expliquer les choses de la vie – donc la mort – le plus simplement possible, avec un ton adapté à l'âge du lecteur, sans tomber dans l'infantilisation. Certains auteurs mettent en scène des animaux, mais d'autres abordent plus frontalement la mort pour celle d'un proche, une petite soeur, une maman, une grand-mère ou un grand-père. Il arrive que la Mort s'invite elle-même dans un album...
Démographie > Analyse sociodémographique de la Mayenne
Outil d'animation et de démocratie locale, le recensement de populati
on dévoile la Mayenne
(mise à jour : avril 2025, 10 pages)
Mis à jour avec les données 2022, ce cahier livre une photographie de la population mayennaise avec un éclairage sur ses évolutions, récentes ou plus lointaines.
Missions Service civique disponibles
Une quinzaine de missions de service civique disponibles en Mayenne (mise à jour : 17 avril 2025)
Le service civique, ouvert à tous les jeunes de 16 à 25 ans et jusqu’à 30 ans pour ceux en situation de handicap, est un dispositif ayant pour objectif de mobiliser la jeunesse sur des missions spécifiques.
Selon les missions, l’engagement dure entre six et douze mois. La durée hebdomadaire est de 24 heures minimum et 35 heures maximum. En parallèle d’une mission de service civique, un jeune peut travailler à temps partiel ou être étudiant. Le service civique est un engagement et non un stage, et ce n’est ni du bénévolat, ni un emploi salarié. Les missions s’effectuent exclusivement au sein d’organismes à but non lucratif ou de droit public, (associations, fondations, collectivités territoriales, établissements publics, services de l’État, syndicats, entreprises solidaires d’utilité sociale…).
Plusieurs milliers de missions d’intérêt général sont proposées dans dix domaines : la culture et les loisirs, l’éducation pour tous, l’environnement, la solidarité, le sport, l’intervention d’urgence en cas de crise, la mémoire et la citoyenneté, la santé, le développement international et l’action humanitaire et la citoyenneté européenne. Une mission de service civique doit être autant utile au jeune qu’utile à l’organisme qui l’accueille et à la société en général.
Pour être volontaire seuls comptent la motivation et le savoir-être. Il n’est pas question de profil pour telle ou telle mission. Les jeunes n’ayant pas de diplôme, de qualification, de compétences particulières ou d’expériences professionnelles peuvent s’engager.
Le service civique donne droit à des avantages, tels une indemnité de 600,94 euros net par mois, des congés, une protection sociale financée par l’État, une carte qui donne accès aux mêmes avantages que la carte d’étudiant, des formations civiques et citoyennes, une formation aux Premiers secours citoyen (PSC) et un accompagnement personnalisé par un tuteur.
Cet engagement permet aux jeunes une valorisation de leurs parcours, l’acquisition d’expérience et de compétences. En Mayenne, de nombreuses missions de service civique sont à pourvoir dans les prochains mois.
Publications > CÉAS-point-com
CÉAS-point-com d'avril 2024
Les CÉAS-point-com d'avril 2024 sont en ligne...
Publications > La Lettre du CÉAS
La Lettre du CÉAS n° 432 de mars va arriver dans les boîtes aux lettres électroniques et/ou postales de tous nos abonnés...
Au sommaire, entre autres :
- Mayenne : panorama des 280 associations créées en 2024
- Dès 2026, peut-être des résultats du recensement un an plus tôt ?
Abonnement à La Lettre du CÉAS et/ou adhésion à l'association
Démographique > Méthodologie

Recensement(s) de population : comment s'y retrouver, l'utiliser, l'exploiter ? (mars 2025)
C'était le thème de l'assemblée générale du CÉAS le 5 mai 2010. Il s'agit ici d'un extrait du montage Powerpoint présenté pour introduire les échanges, actualisé en 2023.
Gérontologie > Maladies d'Alzheimer et apparentées

Les occasions de mieux les comprendre se multiplient. Maladies d'Alzheimer et apparentées : cinéma et littérature (février 2025, 80 pages)
Les maladies d’Alzheimer et apparentées conservent encore tous leurs mystères, tant sur le plan médical que pour l’entourage dans la vie au quotidien. Dès lors, on ne peut que saluer les diverses initiatives, dans la production culturelle, qui permettent au grand public de mieux connaître et comprendre ces maladies.
Publications > CÉASsement vôtre !
Accéder à l'ensemble des CÉASsement vôtre !
Les A
llemands sont-ils des plaisantins… ou simplement réalistes ?
En France, des partis politiques veulent l’abrogation de la loi sur les retraites votées en 2023 (1). Ils vont jusqu’à prendre le gouvernement en otage. Pour une majorité de Français, cette réforme serait impopulaire. Les élus politiques qui militent pour l’abrogation de la loi s’appuient sur cette impopularité pour légitimer leur revendication avec l’espoir d’un gain électoraliste.
Comment croire que des élus politiques, censés être intelligents et avoir le sens des responsabilités, puissent ne pas être convaincus du caractère inéluctable de ce passage de 62 à 64 ans pour l’âge légal de départ à la retraite ?
Denis Boissard, secrétaire de l’Association pour le soutien des principes de la démocratie humaniste (ASPDH), laquelle chapeaute le groupe SIPA Ouest-France (2), est l’auteur d’une « réflexion » publiée dans Ouest-France du 29 octobre 2024. Ce texte aurait-il pu l’être sans la conviction des dirigeants du premier quotidien régional de France que cette réforme est nécessaire ? « Nous devons regarder la réalité en face », titre le journal.
Pour trois raisons : 1/ « Nous n’avons pas assez de cotisants pour payer les pensions de retraités de plus en plus nombreux » ; 2/ La réforme « permettra de garder quelque 450 000 personnes de plus en emploi, alors qu’en dépit des nouveaux arrivants sur le marché du travail ou de l’immigration de travail, notre pays et son économie souffrent d’une pénurie généralisée de main d’œuvre » ; 3/ La situation financière de notre pays est « très préoccupante » : or, revenir de 64 à 62 ans, c’est alourdir encore plus les dépenses publiques alors que les pensions de retraite en constituent le premier poste.
Bien entendu, il faut tenir compte de la pénibilité au travail. La réforme de 2023 traite cette question, mais peut-être faut-il aller encore plus loin et s’attacher, entre autres, à améliorer les conditions de travail ? Seulement, pour y parvenir, il suffit d’un projet ou d’une proposition de loi – sans aucune nécessité d’abroger toutes les mesures déjà adoptées.
Alors que le système français de sécurité sociale est réputé comme étant parmi les plus performants au monde, quelle prétention de penser que la France pourrait indéfiniment faire partir ses salariés à la retraite plus tôt que dans tous les autres pays, notamment ceux de l’Union européenne. Qu’en est-il de l’Allemagne – si souvent citée comme modèle ? Au 1er janvier 2023, l’âge légal de départ à la retraite y est à 67 ans (3) !