BlacKkKlansman, film américain de Spike Lee (2018), inspiré de faits réels, n’a pas remporté la Palme d’or, mais tout de même le Grand Prix lors de la 71e édition du Festival de Cannes : donc ce ne peut pas être un film banal… Mais pourquoi diantre nous le présente-t-on comme une comédie ? C’est ce que font pourtant les documents promotionnels des salles de cinéma, et même l’encyclopédie Wikipédia ! Tout de même, ces deux policiers, un Noir et un Juif, qui ensemble infiltrent le Ku Klux Klan, ce n’est pas Un Gendarme à Saint-Tropez…
Les faits remontent à 1964 : trois jeunes militants sont assassinés par des membres du Ku Klux Klan. En 2005, l'affaire a connu un rebondissement avec l'inculpation, quarante ans après, de l'un des protagonistes... Ce triste fait divers amène Christophe Mézange à analyser l'ivresse de Noé (Genèse IX) qui sert, dans certains milieux extrémistes, à légitimer la supériorité de la race blanche sur la race noire...
À mettre entre toutes les mains : surtout celles des bédéphiles un peu racistes, homophobes, sexistes, enfin tout… mais dont on ose quand même espérer que l’humour peut tout d’un coup les transfigurer – cet humour qui se dégage des dessins de Jak et des textes de Georges Grard, alias « Geg », bref cet humour de Jak et Geg, et de la bande à Ed.
Dans un rapport du 8 juillet 2021, le Défenseur des droits appelle à renforcer l’encadrement des technologies biométriques et de leurs usages multiples.
Albert Einstein disait qu’« il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé ». Si cette citation est reprise dans le fascicule du programme « Unissons nos Différences » 2011, ce n’est pas par hasard : ce collectif mayennais a mis en place des actions autour de toutes les formes de discriminations dans le département (genre, origine, handicap, orientation sexuelle, croyance…). Il œuvre « dans le sens d’une meilleure compréhension des autres et développe ainsi la tolérance et la valorisation de l’autre à travers sa différence ».