Les éditions Goutte d’or ont réédité en 2020 l’ouvrage de Gabrielle Deydier, On ne naît pas grosse, qui a donné lieu à une adaptation en téléfilm : Moi, grosse, de Murielle Magellan (2019), et à un documentaire : On achève bien les gros, de Laurent Follea, Gabrielle Deydier et Valentine Oberti (2019). C’est l’occasion d’aborder la question du poids extrême en osant utiliser les mots justes.
Ceux qui ont aimé L’Élégance du hérisson, de Muriel Barbery, publié en 2006 chez Gallimard, ne pourront que tomber sous le charme de ce petit roman publié en 1994 par Actes Sud (coll. Babel), La Grosse, de Françoise Lefèvre.
En septembre 2019, Sandrine David et Anne Tallec (Observatoire régional de la santé) ont exploité les résultats du Baromètre de Santé publique France 2017 en extrayant les réponses des quelque 1 600 Ligériens de 18 à 75 ans qui ont participé à l’enquête. Les deux auteures se sont notamment intéressées au surpoids et à l’obésité.
Le CÉAS livre ici une synthèse d'une Note de veille du Centre d'analyse stratégique qui dresse un bilan et formule diverses propositions. Contribution locale avec un poème : Se mettre à table !
« La corpulence des femmes et des hommes varie fortement dans le monde », rappelle l’Institut national d’études démographiques (Ined) dans Population & Sociétés n° 504 d’octobre 2013. « Les pratiques alimentaires et les activités physiques jouent un rôle important, ajoute l’Ined, mais les normes corporelles ont aussi une influence ».